À 70 ans, j’ai pris ma retraite et je suis rentrée chez moi pour célébrer cela avec ma famille, mais j’ai découvert qu’ils m’avaient mis à la porte le jour même

« Eh bien, tu ne dormiras pas sous le porche ce soir. Tu restes ici. »

« Je ne veux pas causer d’ennuis… »

« Des ennuis ? Chérie, c’est la chose la plus excitante qui soit arrivée dans cette rue depuis que j’ai surpris M. Mullins en train de tailler ses haies en caleçon léopard. »

J’ai ri, malgré la douleur dans ma poitrine.

Bonnie s’est adossée à sa chaise. « Alors… et maintenant ? »

« Je ne veux pas me battre. Pas au tribunal. Pas avec Tom. C’est juste que… je ne peux pas perdre mes petits-enfants. »

« Alors on ne se bat pas bruyamment. On se bat intelligemment. »

J’ai jeté un coup d’œil par la fenêtre de sa cuisine. Le porche de ma maison était encore sombre.

« Elle cache quelque chose. »

Bonnie a levé un sourcil.

« Je l’ai vue se faufiler partout ces derniers temps. Elle chuchote au téléphone. Et quand Tom n’est pas là ? Elle brille. »

Bonnie sourit. « Eh bien, eh bien. La petite Miss Parfaite a des secrets. »

« Je vais rester ici. Laisse-la penser que je suis partie discrètement. Et pendant ce temps… je vais découvrir ce qu’elle prépare. Disons que grand-mère n’a pas encore fini. »

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