- soit d’une obstruction d’un vaisseau sanguin par un caillot (on parle alors d’AVC ischémique) ;
- soit d’une rupture de ce vaisseau, causant une hémorragie cérébrale (on parle d’AVC hémorragique).
Dans les deux cas, les neurones privés d’oxygène meurent rapidement, provoquant des séquelles qui peuvent être lourdes : troubles moteurs, pertes de mémoire, difficultés d’élocution… Dans les cas les plus graves, l’AVC peut être fatal.
Les signes d’alerte : comment les reconnaître ?
Il existe des signes soudains, visibles, qui doivent immédiatement vous alerter :
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