Environ 2 millions de Français pourraient souffrir de symptômes prolongés associés à cette condition, tels que :
- Fatigue chronique.
- Troubles cognitifs (brouillard cérébral).
- Inflammations systémiques.
- Problèmes cardiovasculaires et métaboliques.
Origines et mécanismes
La protéine Spike, qu’elle soit virale ou vaccinale, partage des propriétés inflammatoires et pro-thrombotiques similaires. Cependant, des différences significatives existent :
- Protéine Spike virale : moins immunogène et rapidement éliminée par l’organisme.
- Protéine Spike vaccinale : modifiée pour être plus stable, elle persiste plus longtemps, augmentant les risques d’effets secondaires prolongés.
Les mécanismes identifiés incluent :
Réactivation virale : la protéine Spike peut réactiver des virus dormants comme Epstein-Barr, le zona ou le cytomégalovirus.
Mimétisme moléculaire : la ressemblance entre la protéine Spike et certaines protéines humaines peut déclencher des maladies auto-immunes.
Formation de micro-caillots : la protéine Spike favorise l’agrégation plaquettaire, entraînant des troubles circulatoires.
Dysfonction mitochondriale : le stress oxydatif généré par l’inflammation endommage les mitochondries, réduisant la capacité énergétique des cellules.
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