Pression familiale et publique
La nouvelle s’est vite répandue dans la famille à Jaipur. Certains m’en ont voulu :
« Raj, tu as été un imbécile. Ta femme vient d’accoucher et tu l’as forcée à dormir dans le débarras. N’est-ce pas cruel ? »
D’autres ont dit :
Tout le village le sait. La famille Kapoor est connue pour maltraiter ses belles-filles. Qui voudra épouser un membre de votre famille à l’avenir ?
Je me suis pris la tête dans les mains, trop audacieuse pour répondre. Chaque mot de critique me transperçait comme un couteau.
La douleur de perdre un enfant
Cette nuit-là, j’ai appelé Anita en cachette. Elle a répondu, et sur l’écran, j’ai vu notre fils dormir sur ses genoux. J’ai eu un pincement au cœur à la vue de son petit visage. J’ai dit :
« Anita, laisse-moi au moins le voir. Il me manque tellement. »
Elle m’a regardé, les yeux froids :
« Te souviens-tu de ton fils ? Et de moi, qui ai été jeté dans l’entrepôt et traité comme un esclave ? Raj, c’est trop tard. Je ne reviendrai pas. »
Des larmes coulaient sur mon visage.
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