“On peut faire des goûters là-haut ?” demanda Sophie, qui se dirigeait déjà vers la petite table. “Avec du vrai thé ?”
“Du chocolat chaud”, corrigea Amelia en riant. “Et des biscuits. Beaucoup de biscuits.”
Plus tard dans la soirée, alors que je mettais Sophie au lit, elle m’a serré contre elle et m’a murmuré : “La nouvelle maman n’est pas effrayante. Elle est gentille.”
Je l’ai embrassé sur le front, sentant les derniers de mes doutes se dissiper.

Notre parcours pour devenir une famille n’était ni droit ni simple, mais c’est peut-être ce qui le rendait réel. Nous apprenions ensemble, nous trébuchions parfois, mais nous allions toujours de l’avant.
Lire la suite sur la page suivante