En effet, elle a révélé ce qui l’a poussé à martyriser son enfant jusqu’à sa mort. Face à un président de la cour abusé, elle a justifié ses actes horribles par les traumatismes qu’elle a subis étant enfant.
En effet, Sandrine Pissarra a raconté avoir subi de la maltraitance de la part de sa mère. Un mauvais traitement qui l’aurait conduit à torturer sa propre fille. “Vous ne l’aimiez pas?”, lui avait alors alors demandé le président.
Une question à laquelle Sandrine a répondu par la négative. “Si je l’aimais”, a-t-elle rétorqué.
Cela a conduit le président à lui demander :
Comment vous pouviez taper sur votre enfant ?