Les vaccins ARNm anti-COVID peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes selon plus de 100 études

Inflammation et dysrégulation immunitaire
Les nanoparticules lipidiques transportant l’ARNm vaccinal induisent une sécrétion massive de protéines inflammatoires, créant une tempête cytokinique qui ouvre la voie à l’émergence de cellules souches cancéreuses. Cette inflammation peut évoluer vers un épuisement des cellules T, qui ne peuvent alors plus éliminer les cellules cancéreuses.

Contrairement aux affirmations selon lesquelles cette inflammation se résoudrait en quelques jours, des études récentes ont retrouvé la protéine Spike dans le plasma sanguin jusqu’à 709 jours après injection et jusqu’à 17 mois dans les tissus et organes, suggérant une inflammation chronique persistante.

La dysrégulation du système immunitaire se manifeste par une suppression des cellules T et des réponses à l’interféron de type I, cruciales dans la surveillance du cancer. Les propres données cliniques de Pfizer démontrent une diminution des lymphocytes T chez 45 à 46 % des participants, phénomène qui s’aggrave avec le temps.

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