Les vaccins ARNm anti-COVID peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes selon plus de 100 études

La destruction du microbiote, notamment des bifidobactéries qui jouent un rôle clé dans la régulation du cancer, a été démontrée en 2022. Cette perte bactérienne a été observée chez les patients atteints de cancer invasif.

Enfin, l’augmentation de la résistance aux traitements se manifeste par une prolongation de la survie des cellules cancéreuses après exposition à la chimiothérapie, phénomène corrélé à l’inhibition du gène p53 et à l’altération de la réponse aux dommages de l’ADN.

Questions sans réponses
Aucune étude n’a évalué la cancérogénicité de ces injections avant leur déploiement massif. Un essai clinique australien lancé en 2021 pour répondre à cette question a été brutalement interrompu sans explication, et les autorités s’apprêtent à détruire les millions d’échantillons biologiques collectés.

Plusieurs pays ont rapporté l’existence de lots Pfizer de toxicité variable, et des clusters de cancer se sont déclarés dans des hôpitaux où certains lots à haut risque avaient été utilisés. Ces éléments interrogent sur l’anticipation possible de cette épidémie planétaire de cancers pour tester une technologie dans laquelle l’industrie a investi des sommes qui lui interdisent aujourd’hui de faire machine arrière.

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