Mais cette lecture est loin de faire consensus. Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, exprime de vives réserves. Il rappelle que chez l’humain, des études ont montré la persistance d’ARN vaccinal jusqu’à 28 jours après l’injection, et celle de la protéine Spike jusqu’à 709 jours. Ces résultats suggèrent que les molécules utilisées ne se dégradent pas aussi rapidement que prétendu.
Lire la suite sur la page suivante >>