L’homme qui affirme avoir vu la preuve que la mort n’est pas la fin dévoile les sept niveaux de l’au-delà

Un sas de repos entre deux mondes

Imaginez une salle d’attente paisible, à la frontière de l’ici-bas et de l’au-delà. Ce deuxième niveau, parfois appelé « Hadès » (sans lien avec l’enfer des mythologies classiques), serait un lieu de repos temporaire. Pour certains, comme les enfants, ce passage est rapide. Pour d’autres, il peut durer plus longtemps.

Myers, par exemple, y aurait séjourné après une mort survenue en Italie. Il parle d’un lieu calme, fait d’ombres apaisantes et de silence régénérant. Une sorte de parenthèse pour recharger l’âme.

Une copie imparfaite de la Terre

Ici, on vit comme sur Terre… mais sans le corps. Un univers façonné par l’imaginaire et les souvenirs. Certains y retrouvent leur maison, leur routine, presque comme dans un rêve lucide. Mais attention : ce niveau comporte aussi des zones sombres.

Ceux qui ont mené une vie centrée sur eux-mêmes, sans compassion ni générosité, y vivent dans des espaces ternes, froids, sans enfants ni lumière. Ce n’est pas une punition imposée, mais un reflet de l’état intérieur. Et on en sort… dès qu’on est prêt à changer.

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