La panique s’est emparée d’Etan. Les ouvriers ont appelé à l’aide et une ambulance l’a emmenée d’urgence à l’hôpital. Quelques heures plus tard, un jeune médecin est arrivé auprès d’Etan, pâle et secoué.
« Monsieur Carter », dit-il doucement, « votre femme est vivante, mais dans un état critique. Nous avons trouvé des traces d’une toxine rare dans son sang. Elle ralentit la respiration et simule la mort. Si vous n’aviez pas empêché la crémation, elle aurait été perdue à jamais. »
Les genoux d’Etan fléchirent. « De la toxine ? Comment est-ce possible ? »
Le médecin fronça les sourcils. « A-t-elle pris des remèdes à base de plantes ou des traitements maison récemment ? »
Et à cet instant, Etan se souvint du « thé spécial ».
La vérité éclate
Cette nuit-là, Etan était assis près du lit d’hôpital d’Amara, lui tenant la main froide. « J’aurais dû te protéger », murmura-t-il.
À l’arrivée de la police, Etan leur a remis le sachet de thé qu’Helen avait laissé à la maison. Les analyses ont confirmé les soupçons du médecin : il contenait du poison.
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