Ma famille m’a traité de faux soldat et m’a interdit l’accès au lit de mort de grand-père, alors j’ai passé un appel qui a détruit leurs mensonges.

Brad fronça les sourcils. « Des enquêtes ? De quoi tu parles ? »

L’agent a ouvert un dossier. « Nous avons suivi des transactions suspectes sur les comptes de M. Hayes. Des indices suggèrent que certains proches ont détourné ses fonds et profité de son état. »

La pièce se tut. Le teint de sa tante vira au gris.

Daniel se retourna alors, d’une voix basse mais tranchante comme un rasoir. « Tu pensais que je venais pour l’argent. Mais pendant que tu manigançais, je m’assurais que grand-père était protégé. Il m’a donné procuration il y a des années. Je n’avais pas besoin de son héritage. Je devais défendre son nom. »

La famille perdit son sang-froid. Brad bégayait, sa tante se serrait la poitrine, leurs protestations étouffées par les agents qui leur lisaient leurs droits. Le chaos fit place à l’arrogance. Pour une fois, Daniel n’eut pas besoin d’élever la voix : la vérité s’en chargeait.

Il se tourna vers son grand-père et murmura : « C’est fini, grand-père. Ils ne peuvent plus te faire de mal. »

Un léger sourire apparut sur les lèvres du vieil homme avant qu’il ne se rendorme.

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