La confrontation
Ce soir-là, munie du testament et des documents légaux, je suis retournée à la maison avec David. Margaret était assise au salon, buvant du thé, l’air victorieux. David s’est avancé et lui a remis une mise en demeure. « Cette maison appartient à Anna », a-t-il déclaré. « En tant qu’épouse et unique héritière de Michael, elle en est pleinement propriétaire. Si vous refusez de partir, la police interviendra. »
Le visage de Margaret devint rouge de colère. Denise hurla, Caroline pleura. Je restai debout, impassible. Ils avaient tenté de m’effacer, mais Michael m’avait laissée protégée par l’amour et la loi.
Victoire et reconstruction
Le procès était épuisant. Ils m’ont accusée de manipuler Michael. Mais David a fait témoigner des amis, des collègues, des partenaires commerciaux, qui ont attesté de l’amour et de la fierté que Michael éprouvait pour notre mariage.
Quelques semaines plus tard, le juge a rendu son verdict : le testament était valide et tous les biens m’appartenaient. Margaret et ses filles ont dû partir immédiatement.
Ce soir-là, en rentrant à la maison, j’ai caressé les murs peints par Michael, les meubles que nous avions choisis, les photos de notre vie. Après la tempête, j’ai réalisé que ma vie avait changé, mais que j’avais survécu.
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