Mais ici, les scientifiques sont allés plus loin : ils ont combiné cette approche avec des anticorps supplémentaires pour cibler avec encore plus de précision les cellules tumorales du cerveau – notamment celles liées au glioblastome, une tumeur particulièrement agressive et difficile à traiter.
Des résultats impressionnants dès les premiers jours

L’étude, bien que menée sur un tout petit groupe de trois personnes, a de quoi interpeller. L’une des patientes a vu sa tumeur rétrécir de 18,5 % en seulement deux jours. Au bout de deux mois, cette même tumeur avait perdu plus de 60 % de son volume.
Mais le cas le plus spectaculaire reste celui d’une autre patiente, dont la tumeur a quasiment disparu après une seule perfusion. Oui, vous avez bien lu : cinq jours après le traitement, l’imagerie montrait une régression presque totale.
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