Lorsque j’ai atteint la rangée que Caleb avait vaguement décrite – « la troisième à gauche, près du vieux chêne » – je l’ai enfin vue.
Sa pierre tombale.
Son nom.
Et puis… son visage.
La photographie incrustée dans le granit poli m’a fait lâcher les fleurs des mains.
Parce que la femme dans ce cadre ovale…
la femme dont la vie s’est terminée avant même que la mienne ne croise le chemin de Caleb…
Il me ressemblait trait pour trait.
Pas « similaire ».
Pas « vaguement semblable ».
Pas « je peux plus ou moins le voir ».
Non, elle ressemblait à mon reflet d’il y a cinq ans.
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