Soixante-trois motards sont arrivés devant la fenêtre de l’hôpital de ma fille en phase terminale à 19 heures

Il est des moments dans la vie où l’on croit avoir tout vu. Puis, soudain, un grondement venu de nulle part bouleverse tout. Ce soir-là, à 19h précises, l’hôpital a tremblé. Pas à cause d’une urgence ni d’un orage… mais sous l’effet de 63 motos vrombissantes alignées devant une fenêtre bien particulière. Derrière la vitre, une petite fille fatiguée, Lina, a esquissé un sourire. Et avec lui, tout a changé.
Le jour où tout a basculé
Lina, 8 ans, vive et curieuse, aimait courir après les papillons. Jusqu’au jour où elle s’est effondrée, sans raison. En quelques heures, sa famille a été propulsée dans un tourbillon de rendez-vous, de diagnostics, et d’un mot que personne ne veut entendre : une maladie grave, rare, et surtout coûteuse à traiter. Très coûteuse. La sécurité sociale ne couvrait pas tout. Le traitement, prometteur mais inaccessible.

Une rencontre inattendue… au bord du désespoir

C’est sur le parking d’un restaurant, alors que sa maman pleurait en silence, que tout a commencé. Un groupe de motards, venus pour leur sortie hebdomadaire, remarque la jeune femme bouleversée. L’un d’eux, impressionnant mais bienveillant, s’approche. Il s’appelle Marc. Elle lui raconte tout. Et il répond simplement : « Personne ne se bat seul. »

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