Le rapport d’autopsie a ensuite révélé que l’enfant était décédé d’un choc hémorragique causé par une nécrose de l’intestin grêle. En d’autres termes, une partie des tissus de son intestin s’était détériorée, entraînant une défaillance de l’organisme.
Le médecin en charge a reconnu avoir commis une « erreur de jugement » en n’ayant pas approfondi le bilan médical de l’enfant. Il a également admis ne pas avoir accordé suffisamment d’attention aux antécédents médicaux du petit patient.
Quand le diagnostic peut faire toute la différence
Dans cette histoire, une simple vérification supplémentaire aurait peut-être permis de sauver cet enfant. Cela nous rappelle à quel point il est essentiel, pour les parents comme pour les professionnels de santé, de rester attentifs aux signaux inhabituels.
Lire la suite sur la page suivante >>