Imaginez que votre corps vous envoie des signaux d’alerte plusieurs semaines avant un accident vasculaire cérébral (AVC). Fatigue soudaine, vertiges, troubles de l’élocution… Ces symptômes peuvent sembler anodins, mais ils pourraient être des avertissements cruciaux. Alors, comment reconnaître ces signes et éviter le pire ? Plongeons ensemble dans ces indices que votre corps ne doit jamais ignorer.
Qu’est-ce qu’un AVC et pourquoi est-il si dangereux ?
Un accident vasculaire cérébral (AVC) survient lorsqu’un vaisseau sanguin alimentant le cerveau est bloqué ou éclate, entraînant une interruption de l’oxygène vers les cellules cérébrales. Sans intervention rapide, les séquelles peuvent être graves : paralysie, troubles du langage, voire décès.
Il existe trois types principaux d’AVC :
- L’AVC ischémique : le plus courant, causé par un caillot sanguin obstruant une artère.
- L’AVC hémorragique : provoqué par la rupture d’un vaisseau sanguin, entraînant un saignement dans le cerveau.
- L’attaque ischémique transitoire (AIT) : un mini-AVC temporaire, signe avant-coureur d’un AVC plus grave à venir.
Mais avant qu’un AVC ne survienne, votre corps peut envoyer des signaux précurseurs qu’il est crucial de reconnaître.
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