Un père de famille a perdu son emploi pour avoir sauvé une petite fille de la chaleur. Mais le lendemain matin, cinq 4×4 noirs se sont arrêtés devant chez lui, porteurs d’une vérité qui allait bouleverser sa vie à jamais.

—Suivez-moi, dit-il. Pas de questions sur le permis ou la carte grise. Pas d’avertissements. — Restez collés à mon pare-chocs. Ne me perdez pas.

Il est retourné en courant à sa voiture de patrouille, a allumé le gyrophare et s’est engagé sur l’autoroute dans un hurlement de sirènes qui semblait faire trembler l’air lui-même.

Caleb était collé au pare-chocs arrière de la voiture de police comme si sa vie en dépendait. Peut-être était-ce le cas. Des voies s’ouvrirent devant eux, les conducteurs se rangeant sur le bas-côté, surpris par les sirènes. La marée de voitures s’écarta juste assez pour laisser passer le petit convoi.

—Tu te débrouilles super bien, dit Caleb à la jeune fille, même si elle n’avait pas bougé depuis des minutes. On y est presque. Tiens bon encore un peu, d’accord ? S’il te plaît.

Le panneau indiquant la sortie de l’hôpital apparut. Le policier quitta l’autoroute, gyrophares allumés, et conduisit Caleb directement à l’entrée des urgences.

Caleb gara le camion en travers près de la porte, mit le point mort et fit le tour en courant vers le côté passager. Il prit de nouveau la fillette dans ses bras, constatant sa faiblesse, et courut à l’intérieur.

L’homme au costume cher
—J’ai besoin d’aide !—Sa voix résonna contre les murs carrelés de la salle d’accueil des urgences.—Elle s’est évanouie à cause de la chaleur. Elle a du mal à respirer.

Les infirmières et les aides-soignants se sont immédiatement mis en mouvement. Un brancard est apparu comme par magie. Une infirmière a délicatement pris la fillette dans ses bras tandis qu’une autre commençait à poser des questions, d’une voix vive mais bienveillante.

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