Chaque histoire est unique, chaque corps aussi
Bien sûr, il n’existe pas de “parfum de la fin” universel. Tout dépend de la personne, de son état de santé, et parfois même de ses antécédents médicaux. Certaines maladies, comme celles touchant l’appareil digestif, peuvent accentuer ces changements olfactifs. Mais chez d’autres, aucun changement notable n’est observé.
C’est ce caractère aléatoire qui intrigue autant les soignants que les proches. Ce n’est pas une vérité absolue, mais un phénomène que de nombreux professionnels observent régulièrement, sans pouvoir toujours l’expliquer.
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