Pourquoi certaines personnes vivent-elles bien au-delà de 100 ans alors que d’autres peinent à atteindre un âge avancé ? C’est la question que se sont posés des scientifiques après avoir étudié Maria Branyas Morera, une Espagnole décédée à 117 ans. Son ADN, son alimentation et ses habitudes de vie ont révélé des indices fascinants qui pourraient bien être les clés d’une vie plus longue… et en meilleure santé !
Un ADN hors du commun ?
Les chercheurs de l’Université de Barcelone ont découvert que Maria possédait un génome unique, ralentissant son vieillissement biologique de 17 ans par rapport à son âge réel ! Autrement dit, son corps était biologiquement plus jeune que son âge officiel.
Mais ce n’est pas tout : son microbiome intestinal, c’est-à-dire l’ensemble des bonnes bactéries présentes dans son intestin, ressemblait davantage à celui d’un enfant qu’à celui d’une personne âgée. Une véritable anomalie génétique qui pourrait expliquer sa résistance aux maladies !
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