Alors qu’une partie de la communauté scientifique avait alerté sur les risques de cancer associés aux vaccins ARNm dès 2021, l’explosion actuelle des cancers fulgurants interroge. Un collectif d’oncologues français qui avait initialement réfuté tout lien affirme aujourd’hui être confronté à un tsunami de cancers sans explication rationnelle, particulièrement chez les jeunes.
Le professeur Khayat, cofondateur de l’Institut national du cancer, témoigne : « On a une augmentation foudroyante du cancer du pancréas sans qu’on ait la moindre idée de la raison. Le monde entier, toute la cancérologie mondiale se pose la question. Le système qui nous permet de comprendre le cancer est mis en défaut. »
L’épidémiologiste Nicolas Hulscher a identifié en mars dernier dix mécanismes par lesquels les injections ARNm pourraient provoquer le cancer. Cette analyse, basée sur une étude publiée dans la revue Cureus, peut aujourd’hui être étendue à dix-sept mécanismes distincts selon plus de cent études scientifiques.
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