Les vaccins ARNm anti-COVID peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes selon plus de 100 études

Mécanismes génétiques et moléculaires
L’instabilité du génome représente le premier mécanisme identifié. Contrairement aux affirmations de l’Agence européenne des médicaments, plusieurs études ont confirmé dès 2021 l’intégration possible de l’ARN vaccinal dans le génome humain. Cette mutagenèse insertionnelle provoque des mutations de décalage de trame qui induisent la production de protéines aberrantes conduisant au cancer. En juillet 2023, ce phénomène a été observé chez des souris après une seule injection d’ARNm.

Le mécanisme d’évasion immunitaire constitue le deuxième risque majeur. La protéine Spike inhibe plusieurs gènes suppresseurs de tumeurs essentiels comme p53, BRCA1/2 et RB1, permettant aux cellules cancéreuses d’échapper à leur détection par le système immunitaire. La première étude démontrant cette interférence avec la protéine p53, surnommée gardienne du génome, a été publiée en octobre 2021 puis rétractée sur ordre du NIH, avant d’être confirmée par d’autres recherches.

L’altération du mécanisme de réparation de l’ADN représente un troisième danger. La protéine Spike vaccinale inhibe le système de réparation de l’ADN qui se met normalement en place pour prévenir les mutations favorisant l’apparition de cancers. Cette altération induit une immunodéficience qualifiée de voie directe vers le cancer.

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