Les vaccins ARNm anti-COVID peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes selon plus de 100 études

Réactivation et résistance tumorale
Le réveil des cancers dormants préoccupe particulièrement les oncologues. Le professeur Ian Brighthope témoigne : « Des patients qui n’avaient plus de cancer depuis de nombreuses années font soudainement une rechute avec des cancers agressifs et explosifs peu après avoir reçu des doses de rappel. Ces cancers turbo apparaissent plus rapidement et avec une virulence plus importante. »

La capacité de la protéine Spike à fusionner plusieurs cellules permettrait d’expliquer cette cascade de complications, la formation de syncytia contribuant au développement du cancer et à la formation de métastases.

L’altération de la surveillance immunitaire résulte de la modification synthétique de l’ARN par ajout de m1Ψ, qui bloque la capacité de l’ARN naturel à activer les cellules dendritiques. Ces cellules ayant pour fonction de reconnaître les agents pathogènes, notamment les cellules cancéreuses, leur dysfonctionnement compromet la réponse immunitaire ciblée.

Défaillances techniques majeures
Le décalage de cadre représente une défaillance majeure : dans un tiers des cas, l’ARNm vaccinal produit une protéine inconnue autre que la protéine Spike prévue. Cette découverte publiée en janvier 2024 a été qualifiée de problème de sécurité majeur par les chercheurs.

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