Les vaccins ARNm anti-COVID peuvent induire le cancer de 17 manières distinctes selon plus de 100 études

Les injections multiples entraînent un épuisement du système immunitaire marqué par un changement de classe des anticorps vers les IgG4. Cette modification catastrophique entraîne une tolérance immunitaire où les agents pathogènes cessent d’être reconnus, favorisant la susceptibilité au cancer.

La contamination ADN des vaccins Pfizer et Moderna par de l’ADN plasmidique représente un risque majeur. Confirmée par dix équipes de chercheurs, cette contamination atteint jusqu’à 500 fois le plafond autorisé, maximisant le risque d’intégration dans le génome et donc de cancer.

Éléments oncogènes cachés
Les séquences ADN de SV40 oncogène dans l’injection Pfizer décuplent la capacité d’intégration dans le génome. Bien qu’interdite par la FDA, cette utilisation a été concédée par Pfizer. Le professeur Angus Dalgleish rappelle que le SV40 est précisément la substance injectée aux souris de laboratoire pour induire un cancer lors des tests de chimiothérapie.

La dérégulation du système rénine-angiotensine par la protéine Spike entraîne la suractivation d’un récepteur clé qui commande la multiplication cellulaire. Cette suractivation favorise la vascularisation des tumeurs et engendre un stress oxydant délétère.

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