Elle avait cessé de partager des repas, de parler à ses voisins ou même de sortir. Chaque journée était un combat contre le silence et l’absence. Chaque nuit, une bataille pour trouver le sommeil.
Le rêve qui bouleversa tout
Puis, une nuit, le miracle – ou la folie – se produisit. Elle rêva de son fils. Mais ce n’était pas une apparition vaporeuse ou un souvenir confus : non, il se tenait là, devant elle, vivant, vêtu simplement, son regard rempli de peur et de détresse. Il prit ses mains, les serra fort et murmura d’une voix implorante :
« Maman, je suis en vie. Aide-moi. »
Elle se réveilla en sursaut, couverte de sueur, le cœur battant à tout rompre. Ce rêve avait la force d’une vérité. Impossible d’en douter : son fils l’appelait.
L’incrédulité des autorités
Le lendemain, elle supplia la police, les responsables du cimetière, les médecins légistes. Elle leur raconta son rêve, sa conviction profonde. Mais tous lui répondirent avec douceur :
« C’est le deuil qui parle. Vous devez accepter sa mort. »
On lui proposa des médicaments, du soutien psychologique. Mais personne ne voulut entendre qu’il pouvait être encore en vie.
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